Voici ci-dessous une tique. Cet animal minuscule de la famille des acariens est un parasite des vertébrés. Au sol, sur des brins d’herbes ou des fougères, les tiques cherchent un hôte, animal sauvage ou domestique ou humain, pour se nourrir de son sang, pondre ses œufs ou héberger ses larves. Aux différents stades de son développement, avec son rostre, la tique va piquer la peau de son hôte pour se gorger de son sang. Malheureusement, ce parasite est porteur de différents agents infectieux, qui vont générer différentes maladies tant aux animaux domestiques qu’aux humains, dont la Maladie de Lyme.
La tique en a été longtemps le principal vecteur, mais on a découvert, que Lyme pouvait désormais être transmise par les moustiques, mais aussi les araignées, les poux, etc. Notre monde est en mutation perpétuelle et les ondes électromagnétiques y sont peut-être pour quelque chose.
Mercredi 20 juin, la Haute Autorité de Santé (HAS) publiait ses recommandations pour la prise en charge de la Maladie de Lyme, appelée aussi « borréliose », y compris dans ses formes persistantes et inexpliquées. La HAS souhaite que soit évitées les errances diagnostiques et thérapeutiques, qui ont été longtemps la norme chez les praticiens, et qui font que les patients se sentent dans le déni ou le rejet. Il est recommandé que la prise en charge thérapeutique globale soit optimale pour les patients atteints ou suspects d’être atteint de cette maladie provenant d’une piqure de tique.
Les symptômes d’une maladie de Lyme sont des douleurs musculaires récurrentes, une fatigue persistante, des maux de tête et des troubles cognitifs qui peuvent être handicapants dans le travail.
En réalité, cette maladie prend des formes multiples, chaude (avec fièvre) ou froide, aigüe ou chronique, avec des symptômes variés et changeants. Ce qui peut dérouter les généralistes et les pousser à traiter leur patient pour des problèmes psychiatriques.
La médecine traditionnelle propose des traitements par antibiotiques, mais qui ne sont efficaces (lorsqu’ils le sont) que chez les enfants et dans les crises aigües de la maladie, mais apparemment sans effets dans une maladie de Lyme chronique, d’après le Dr Milbert, qui en est une spécialiste.
Dans son livre sur la maladie de Lyme, Judith Albertat raconte comment elle a commencé par perdre les moyens intellectuels et physiques pour continuer son travail de pilote-instructeur dans une grande compagnie aérienne.
Puis sa lutte pendant des années contre le corps médical pour qu’on cesse de traiter sa maladie comme psychosomatique et qu’on la traite comme une hypocondriaque ou une folle. Les médecins ne comprenant pas ses symptômes vont la forcer à suivre deux ans de psychanalyse. Son combat personnel durera de 2004 à 2012, une lutte de tous les instants, pour comprendre sa maladie et tenter par tous les moyens de la vaincre. Page 186 de son livre, elle écrit « Parmi les docteurs rencontrés au cours de mon voyage vers la guérison, il en est un, qui, à l’instar de mon père, m’a confié des connaissances venant d’un passé que l’on a malheureusement relégué à l’Antéchrist. Lors de ma toute première visite médicale chez lui, le docteur Chaumier m’a révélé que lui-même, alors enfant, avait été traité avec succès et pendant un an, pour ses affections respiratoires par de l’argent colloïdal. Ce n’était pas la première fois qu’il me parlait de la médecine d’avant, me montrant toutes sortes de livres en décrivant des thérapies oubliées. »
Judith Albertat va explorer l’Argent colloidal à partir d’octobre 2010 et ce sera le premier pas vers la guérison. Page 157 de son livre, elle écrit au sujet de son traitement naturopathique:
« L’élément clé de celui-ci est l’argent colloidal (Ag+) c’est une solution d’eau distillée dans laquelle baignent des ions d’argent en quantité plus ou moins grande. Depuis des millénaires, l’argent a été utilisé pour la désinfection mais aussi la conservation des aliments…: c’est un agent anti-bactérien très puissant. L’utilisation de l’argent colloidal était encore monnaie courante au début du XXiem siècle, mais l’arrivée des molécules chimiques et de la pharmacologie industrielle, a relégué ce précieux outil thérapeutique au fin fond des officines de santé et des mémoires du passé. »
« Dans le liquide colloidal, la concentration en ions d’argent (Ag+) peut varier selon le temps de fabrication. On parlera de « parties par million » ou de PPM. Plus le nombre de ppm est élevé, plus les particules sont fines et nombreuse pour un même volume de solution. Elles ont, de ce fait, un meilleur pouvoir de pénétration dans les cellules. Ainsi un argent colloïdal en 23ppm aura beaucoup plus de pouvoir d’action qu’un argent colloïdal en e ou 5 ppm. » (Fin de citation)
Pour corriger la citation ci-dessus, les particules ne sont pas plus fines, quand la concentration est élevée. Un ion d’argent, qui s’est détaché de l’atome du fait de l’électrolyse, reste toujours un élément microscopique, plus petit que l’atome lui-même, dont il n’est qu’un des éléments. Le mot particule, lui-même, ne devrait pas être utilisé. En effet, on distingue l’argent colloïdal essentiellement composé de particules, une sorte de poudre d’argent très fine en suspension dans l’eau, par opposition à l’argent colloïdal essentiellement ionique, qui lui n’a pas ou peu de « particules ». Des tests comparatifs faits par un laboratoire indépendant ont démontré que seul l’Argent ionique est réellement efficace contre les agents pathogènes.
Grace à l’Argent colloidal en 23 ppm, Judith Albertat va commencer à reprendre le dessus sur la Maladie de Lyme jusqu’à la victoire finale. Elle guérira de la même façon son fils souffrant de la même maladie, en seulement 6 mois.
Eau Positive, qui produit de l’argent colloïdal essentiellement ionique en 23 ppm et 30 ppm, suit de près les progrès de ses clients atteints de la Maladie de Lyme.
L’Argent colloïdal n’est certes pas la panacée universelle, même s’il traite avec succès de très nombreuses pathologies. Son plus grand mérite est certainement de remonter très rapidement les défenses immunitaires de l’organisme, permettant ainsi à l’organisme de se défendre contre les différents agents infectieux. L’organisme ainsi assisté dans son combat de tous les instants, sera plus reposé et le malade va rapidement retrouver des forces, son dynamisme et sa joie de vivre.
Le chemin de la guérison passe aussi très certainement par une modification de son régime alimentaire, la diminution des sucres, notamment, comme pour de très nombreuses maladies… mais c’est un sujet à part entière, qui n’a pas sa place ici.